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Emilien Couvert alias Le Maçon Breton sur Instagram : J’ai essayé d’autres marques, mais avec Leborgne on n’est jamais déçu !
Actualités
société - 10.03.2023

Emilien Couvert alias Le Maçon Breton sur Instagram : J’ai essayé d’autres marques, mais avec Leborgne on n’est jamais déçu !

Emilien Couvert alias Le Maçon Breton sur Instagram : J’ai essayé d’autres marques, mais avec Leborgne on n’est jamais déçu !

« Surtout, ne fais pas maçon ! » lui avait dit son père. Mais Emilien Couvert n’a pas pu résister à l’appel de la passion familiale. Habitué des chantiers depuis son plus jeune âge, le jeune homme a toujours voulu travailler dans le bâtiment. Après un BTS et quelques expériences dans de grosses structures, le trentenaire a pris le pari il y a 2 ans de reprendre l’entreprise de maçonnerie bretonne fondée par son grand-père. Avec lui, 9 salariés mettent aujourd’hui toute leur énergie et leur passion à construire, démolir et rénover petits et gros projets à travers la France. Toujours accompagnés de leurs outils Leborgne, leurs meilleurs alliés.

 

Racontez-nous comment vous en êtes venu à faire des vidéos de votre quotidien de maçon sur Instagram ?

Emilien Couvert : J’ai commencé par faire des vidéos sur mon compte perso histoire de montrer et d’expliquer à mes proches ce que je faisais. Pour eux la maçonnerie ça reste très vague. Ils ont encore la vieille image du gars trapu, avec un peu de ventre, qui boit de la bière, qui pose des parpaings et qui tape sur des murs… Du coup, je me suis mis à faire des Reels en direct de mes chantiers et ça a beaucoup plu à mon entourage ! Ça m’a encouragé à continuer. Au bout d’un moment, j’ai préféré quitter mon compte perso pour créer un compte pro. On a réfléchi à un nom avec mes gars et Le Maçon Breton revenait souvent. Voilà comment ça a démarré !

 

Et vous avez bien fait, aujourd’hui vous êtes suivi par plus de 25 000 personnes sur les réseaux sociaux !

Emilien Couvert : Exactement ! Au début, je me disais : on va essayer, ça ne coûte rien, on verra bien si ça intéresse des gens ou pas. Et ça a plutôt bien marché dès le début : en 8 mois j’avais déjà 1 000 abonnés sur Instagram ! Aujourd’hui, 1 an plus tard, ils sont plus de 5 500 et j’ai de très bons retours. J’ai également à ce jour 18 000 abonnés TikTok et 1 600 sur Youtube. Le métier de maçon intéresse, ça fait plaisir.

 

Vous avez même créé des vocations paraît-il…

Emilien Couvert : Oui, il y a beaucoup de jeunes qui m’écrivent pour me dire que les vidéos leurs plaisent. Je suis très fier ! La maçonnerie a tellement été dévalorisée et délaissée, comme beaucoup de métiers du BTP. Il ne fallait pas y aller, ce n’était pas bien vu. Donc je suis content que ça motive les jeunes, qu’ils se rendent compte que c’est un métier sympa et qu’ils s’engagent de plus en plus dans cette voie. Certains m’ont même directement contacté pour nous rejoindre. J’ai pu recruter et en intégrer à mon équipe. C’est super !

Ça nous permet aussi d’avoir de nouveaux chantiers. Quand les gens voient de quoi vous êtes capables, ce que vous faites, ils vous font plus facilement confiance.

 

« Ça reste un métier difficile au quotidien. Heureusement, les outils ont évolué et permettent de diminuer la pénibilité. »

 

À quoi ressemble votre quotidien de maçon alors ?

Emilien Couvert : Pour résumer, je dirais : construire, démolir, rénover, conduire des engins et surtout aboutir à un résultat ! C’est ce que j’aime dans mon métier : quand on arrive sur un chantier, souvent il n’y a rien, ou bien une ancienne chose à démolir et à reconstruire. Du coup, on a la satisfaction du résultat final, il y a un avant et un après. On aboutit à quelque chose de concret et on est en lien direct avec le client. C’est très satisfaisant. Dernièrement, on a rénové un moulin, bientôt on va reconstruire tout un mur en pierre dans une grosse demeure à Saint Malo, en bord de mer… Aucun chantier ne se ressemble, il n’y a pas de routine. J’adore ça, même si ça reste un métier difficile au quotidien, physiquement. Heureusement, les engins et outils ont évolué et permettent de diminuer la pénibilité.

 

Une passion qui vous a mené en 4ème position du concours du meilleur artisan de France en 2021 : bravo !

Emilien Couvert : C’était mon premier concours. J’ai fait une filière générale, je n’ai pas suivi de CAP ou BEP du coup je n’ai pas eu l’occasion d’en faire en tant qu’apprenti. J’ai donc attendu d’avoir plus de 30 ans pour me tester. J’y suis allé avec mes outils Leborgne, ceux que j’utilise tous les jours. Je ne me voyais pas me présenter sans. Je me serais mis en difficulté. Ça m’a permis d’atteindre la finale, on était 6 finalistes sur 100 participants et j’ai fini à la 4ème place. Bon, c’est déjà bien. Je ferai encore mieux la prochaine fois.

 

Avez-vous des envies particulières, des rêves de chantier pour les années à venir ?

Emilien Couvert : Plein ! J’ai la chance d’en réaliser un cette année : je vais construire ma propre maison, neuve, une maison d’architecte. Ça fera l’objet d’une série sur Youtube. L’idée sera de me suivre dans toutes les étapes du chantier, je vais tout faire moi-même de A à Z.

 

« Même mes gars veulent du matériel Leborgne. Pour eux, c’est le top, ça ne sert à rien de prendre autre chose. »

 

Les outils Leborgne vont faire partie de cette aventure ?

Emilien Couvert : Évidemment, tous les jours. Ils vont tout faire. Même pour faire du plaquage ou pour gratter la terre, j’ai mon marteau Leborgne avec moi. C’est une habitude, il ne me quitte jamais. Celui de la gamme Nanovib est mon préféré. En plus de son côté anti-vibrations qui est un vrai plus, il est super résistant. Comme l’ensemble de leur gamme. On n’est pas réputés pour être des tendres les maçons, on fait des choses rarement douces avec. Eh bien ils n’ont jamais cassé ! Même mes gars veulent du matériel Leborgne. Pour eux, c’est le top, ça ne sert à rien de prendre autre chose. Ils leur permettent de bosser en toute sécurité et puis ils sont très agréables à prendre en main, très ergonomiques. Franchement, ils sont bien étudiés, c’est hyper instinctif de travailler avec. En plus ils sont jolis, le fait qu’ils aient des couleurs vives aussi c’est pratique, ça permet de les retrouver facilement sur un chantier au milieu de la poussière et des gravats.

 

Vous avez testé d’autres marques ?

Emilien Couvert : Oui, mais je suis revenu chez Leborgne. Avec leurs outils, il faut le dire : on n’est jamais déçu. Au niveau des prix, ils sont un petit peu au-dessus, c’est sûr. Mais c’est justifié. On a essayé avec des marques moins chères, la qualité n’y est pas. Ça tient un an, ce n’est pas assez solide. Sur Instagram, je reçois beaucoup de messages d’autres utilisateurs de la marque qui font le même constat.

 

« À quand la truelle Leborgne ? Ils seraient capables d’en faire une digne de ce nom ! »

 

Comment avez-vous connu nos gammes pour le bâtiment ?

Emilien Couvert : Je les ai toujours connues ! Les outils Leborgne étaient déjà sur les chantiers de mon père et de mon grand-père. J’utilise encore un de leur marteau qui doit avoir plus de 20 ans. C’est naturel de travailler avec, je ne me pose pas de questions. Comme je vous disais, c’est une valeur sûre.

 

Y’a-t-il un outil auquel Leborgne n’a pas encore pensé et qui vous serait utile sur vos chantiers ?

Emilien Couvert : Oui, à quand la truelle Leborgne ? Généralement, c’est un outil qui n’est pas simple à prendre en main, qui n’est pas ergonomique. Je suis certain qu’avec leur savoir-faire ils seraient capables d’en faire une digne de ce nom, adapté à notre quotidien ! En dehors de ça, la gamme Leborgne est déjà très bien fournie. Ils satisfont tous mes besoins à l’heure actuelle.

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