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Santé & sécurité
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Le mal de dos, un risque TMS majeur dans les métiers du BTP

Le mal de dos, un risque TMS majeur dans les métiers du BTP

Comment prévenir le risque de mal de dos lié au déplacement de charges lourdes, sur un chantier BTP ?

Faire levier, positionner, déplacer ou encore caler des charges lourdes sont monnaie courante dans les métiers du BTP. Si la posture n’est pas la bonne et le poids à déplacer trop important, chacune de ces situations exposent les professionnels au « mal de dos », qui entre la catégorie des Troubles Musculo-Squelettiques (TMS).

La région des lombaires, en bas du dos, est la plus touchée. Mais, selon la posture, le mal de dos affecte les régions dorsales ou cervicales.

Risque majeur au travail, le mal de dos peut entraîner un arrêt maladie plus ou moins long*. Chronique, il contraint le professionnel dans son activité. Et dans le pire des cas, il peut être à l’origine d’un handicap irréversible.

Pour l’entreprise, les conséquences négatives sont également bien réelles. En effet, les coûts indirects liés à un arrêt maladie pour cause de lombalgie, essentiellement à la charge de l’entreprise, sont 10 fois supérieurs aux coûts directs.

(*) En France, tous métiers confondus, les lombalgies sont la cause de 30 millions de journées de travail perdues chaque année !

Risque TMS mal de dos sur un chantier BTP

Comment lever le risque de mal de dos sur un chantier ?

Dans un contexte d’intensification des enjeux et des exigences en matière de santé et de sécurité, les chefs d’entreprises doivent mettre en oeuvre des moyens de prévention efficaces pour leurs salariés.

Une bonne organisation du chantier permet d’éviter des ports de charge et des mouvements répétés inutiles. Avoir les matériaux à disposition et à la bonne hauteur réduit les risques physiques liés à la manutention.

Les outils, tels que des accessoires de levage, de par leur usage quotidien, constituent un autre levier non négligeable d’amélioration des conditions de travail. Leur usage permet de prévenir la pénibilité et les risques d’accidents au travail.


La pince à talon nanovib® prévient les risques de TMS qui affectent le dos

Utilisée pour soulever et riper les banches de coffrage, la pince à talon nanovib® est trois fois plus légère que les pinces à talon tout acier. Composé d’un alliage en aluminium haute performance, son manche garantit des capacités de charge, de résistance et de rigidité comparables à l'acier. Le talon et la flamme sont en acier forgé.

La pince à talon nanovib® s’utilise également pour mettre en place les éléments de charpente métallique, ainsi que pour les travaux de manutention et de maintenance industrielle.

Le côté talon (pour faire levier, soulever, positionner, caler...) dispose de trois crans qui permettent à l'outil de s'adapter aux différentes hauteurs des charges par rapport au sol. Le côté flamme (pour riper) est volontairement désaxé pour permettre deux positions de travail.

L’outil est disponible en deux versions : Pince à talon + flamme ou Pince à talon.

Capacité de levage : 2 tonnes maximum côté talon (pour soulever 4 tonnes, utiliser 2 pinces à talon Leborgne nanovib®) et 1,5 tonne côté flamme.

pince à talon nanovib®

Autres avantages la pince à talon nanovib®

Son faible poids offre de nouvelles possibilités d'utilisation (en hauteur à bout de bras) et facilite son transport.

Où trouver la pince à talon nanovib® ?

Découvrir l’innovation utile selon Leborgne

Avantages de la pince à talon nanovib®